Je ne saurais dater mes premiers émois face à la Lotus 7. Il est certain qu’un très grand choc s’est produit ce dimanche matin de juin XXXX à Monthléry à l’occasion du Grand Prix de l’Age d’Or. Depuis ce jour, blablabla …. Pas la peine d’épiloguer, il m’en fallait une. Mais j’y reviendrai une autre fois.
L’Age d’Or, Le Mans Classic ont été de merveilleux événements, objets de rencontres, de partage et d’approfondissement des connaissances, mais avec toujours cette petite impression de n’être que spectateur. Un spectateur heureux, certes, mais pas un acteur.
Jusqu’à ces jours de septembre 2007 où le Norfolk Showground a reçu plus de 700 Lotus 7 et Caterham. Voilà des mois que ce week-end de célébration des 50 ans de la Lotus 7 était réservé dans mon agenda. Partir de Normandie, rejoindre Calais, traverser la Manche avec ces camarades enthousiastes, manger des haricots au petit déjeuner, échanger quelques mots avec Graham Nearn, pleurer (ou faire semblant) avec les Anglais sur la défaite de leur équipe face à l’Afrique du Sud, improviser un blat, toucher l’unique Mk 6 carénée et féliciter son propriétaire… et aussi associer des visages à des pseudos du net.
Je vous assure que j’ai découvert une nouvelle façon de vivre ma passion.
Deux choses m’ont principalement marqué : la décontraction et la variété. Pas deux autos identiques mais pas de clans pour autant. Pas de castes. Chacun est fier de sa 7 et chacun interroge son voisin sur les petits détails de sa 7 : un rétro, une calandre, une BAR, les pneus, l’échappement …
à suivre ….
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